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Et la mer se retireVers un lieu où nos cœurs soupirent,Nos réalités sont chaînes à nos chevillesSur le territoire des Nautiles.Nous sommes égarés, déambulant sans destinéeLoin de cette terre des origines vérités.Nous simulons sous l’astre gonflantLes marées ébranlant les vivantsPour toute lumière celle du phareEgayant nos joies rares.Et la terre semble pleine de haineAu chant plaintif d’une sirèneEt la mer se retireVers les vallées de nos desirs.
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