• Espoir des matins pâles<o:p></o:p>

    Transformera tes froides journées<o:p></o:p>

    A la manière d’une pierre philosophale<o:p></o:p>

    En un paradis sauvage, de diamants ornés.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La noirceur de cette espérance abandonnée<o:p></o:p>

    De douceur et de lumière dérisoire<o:p></o:p>

    Comme le son résonnant du glas au clocher<o:p></o:p>

    Aura la couleur des premiers soirs<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C’est une main tendue de la vie<o:p></o:p>

    Sur les levres, donnera un sourire<o:p></o:p>

    Le bonheur, la fierté et l’envie<o:p></o:p>

    A nouveau réunis au son de ton rire.<o:p></o:p>


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  • Traître ! Je ne te savais !

    Le coup que tu m’as porté fut si violent qu’à jamais mes chairs s’en souviendront. Saches que si j’avais des griffes, je te lacèrerais la peau jusqu’à ce que tu en crêves ! et quant bien même, tu me supplierais, je continuerais à te tourmenter.

    Peut-être comprendras-tu alors les souffrances que les mots peuvent infliger ! N’aies craintes, je ne te tuerais point ; pas encore ! C’est parce que je t’aime trop que je te gratifie de ce délai.

    Et lorsque, tu t’en iras sur l’autre rive, je prendrais soin de ton corps mort jusque dans cette sépulture où tu reposeras, victime de la colère d’un être qui t’as trop estimé.


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