• Bonjour à tous,

     

    il reste quelque jours encore avant la fin des inscriptions à l'Hemac 2010 qui aura lieu du 6 au 9 mai à Dijon.

    Allez sur le site http://www.hemac-dijon.com/

    N"hésiter pas


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  • Il est etrange de constater que le temps n'existe plus....que les années ecoulées ne représentent rien... que le bonheur s'efface si facilement... comme une tempete, un vent vient tout boulverser... et qu'avec la force d'un élément, renverse les plus solide foret... C'est un phénoméne derangeant... jusqu'au plus profond de l'être.... un sentiment qui boulverse et fait chavirer le coeur et l'ame sans meme qu'on s'en rende compte...

    Il ne reste rien d'autre que l'impression du néant... un vide que rien ne semble pouvoir combler... une terreure que l'on veut fuir, ... peut importe comment, d'ailleur... courir aussi loin que les jambes et le corps est capable... mais cette douleur, et cette peur sont parfois appaisées ... par la présence merveilleuse et irréelle aussi, ... comme une apparition .... un ange.... une fée.... un autre , simplement qui calme les brulures et rechauffe sans qu'on ne l'ai demandé.

    Il n'y a pas de remede, ... pas de solution miracle... seulement des choix... une decision qui n'appartient qu'à nous seul... rien n'est simple... c'est à nous de prendre la difficile decision de rester... ou bien, d'exister avant et pour tout , .... pour soi uniquement... on ne blame personne.... s'est un sentiment que la conscience cache ... un peu, un bref moment... puis, comme une blessure soudaine et ancienne, ... rejailli dans la chair au creux de notre intellect.

    Le temps disparait... comme les nuages qui dessinent le ciel de forme fantasque... mais , au detour d'une goutte de pluie et d'un rayon de lune... on apercoit l'eclat d'une promesse... et on tente alors de saisir cet espoir fantome... d'un demain un peu plus rose.


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  • C’est une histoire née au cœur de la nuit des temps,

    Que celle d’une ville de pierre où l’or est la terre,

    Qui terrifie les hommes depuis trop longtemps !

    Là, les gens qui s’aiment ne se meurtrissent pas les chairs !

     

    Les liens qui les lient ne sont pas aussi fragiles.

    Petit pays au milieu des terres comme une île,

    Ta vie est légendaire pour les chercheurs mortels

    Qui convoitent tes secrets, tes mines éternelles.

     

    Tes richesses sont parmi celles qui enivrent.

    Ton emplacement n’est cité dans aucun livre,

    Les bibliothèques peuvent toujours tout raconter

     

    Oh ! belle ville mystère, accorde-moi tes bienfaits

    Qu’entre tes murs, je sois à jamais triomphant.

    Citée de pierre, prend soin de mon âme égarée.


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  • Dieux opprimés vivant dans de lointaine contrée

    Sous le joug incessant de l’humanité.

    Caméléons à la robe d’ombre et d’acier,

    Sur des sentiers paillés, vous défiez la destinée !

    Bourreaux, désir et terreur de vies insoupçonnées,

    Aux abords des villages, sais se faire respecter.

    Mais contre leur arme de métal et de flamme

    Vous risquez fort de perdre le cristal de vos âmes.

    Oh ! Génie oublier ne vous laissez pas attraper

    Vis comme toujours avec un peu de liberté.

    Rois étranges, ce regard envoûtant

    Est pour nous, le plus beau des diamants.


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