• Ah ! Ma terre. Ah ! Mon royaume.

    Je me languis de toi. Ton image me hante. Chaque marre tremblante, vestige des larmes des cieux, chaque mirage au fond de mes yeux, dessine, l’espace d’une poussière de temps, les lignes de ton visage.

    Ah ! Ma terre. Ah ! Mon royaume

    Si loin de ta voix, je crois percevoir ce chant étrange que tu me murmurais en un grand vent. La plainte des arbres, ici, n’a pas le même charme, leur son est un cri qui anéantit mes rêves et désirs.

    Ah ! Ma terre. Ah ! mon royaume.

    Je m’ennuie de tout tes bruits. Ton parfums me poursuit. Pas une fleur sauvage, pas un brin de cette herbe qui m’enchaîne n’a la subtilité de tes odeurs ancestrales ni la couleur de tes plaines automnales.

    Ah ! Ma terre. Ah ! Mon royaume.

    Je suis perdue loin de ton corps de récolte. Je suis exilée à tes frontières dociles. La terre en un souffle suspect me donne de tes nouvelles mais les roches messagères me sont bien trop étrangères.

    Ah ! Ma terre. Ah ! Mon royaume.

    Dis-moi pourquoi a-t’il fallut que je parte en voyage ? Dis-moi terre dont je vibre à chaque moment ; dis-moi Champagne, pourquoi je t’aime autant ?


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  • Certains parmis vos se sont sans doute poser la question de savoir ce que venait faires des Arts Martiaux dans toute cette histoire.

    c'est simple, quant on lit une oeuvre de fiction ayant pour univers quelque chose d'approchant le Moyen Age, il y a forcement des combats, avec parfois des chevaliers. Cependant, on a tendance à écrire tout et surtout n'importe quoi sur le combat. Les AMHE (Arts Martiaux Historique Européen) sont une tendance, plus qu'une discipline, de la recherche actuelle. Ils visent à retrouver les techniques de combat, au travers des manuscrits, tels que les pratiquaient les européens des siecles passés.

    Elle part de l'antiquité pour atteindre le XXe siecle. Il s'agit donc d'une forme d'archéologie expérimentale à proprement parler.

    Les combats tels qu'ils sont montrés dans les films du grand cinéma, ne relatent en aucune maniere la réalité. Comprendre comment les hommes du passé, se bataient permet de comprendre la société dans laquelle ils évoluaient.

     

    et la litterature dans tout ca? me direz vous

    tres simple, observer de geste precis que ce soit par le biais de chercheur ou de manuscrit permet de mieux transcrire les scenes de combat dans un ouvrage.

    Pour tout question, sur les AMHE ou sur la démarche de celle ci, allez voir le forum de l'association De Taille et d'Estoc (http://de-taille-et-destoc.xooit.com/index.php°  )   une des plus importante de france par le nombre de ses membres.

     

    voila

    bien à vous


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  • Salutation à toutes et à tous,

    du 10 au 13 mai, auront lieu les XI rencontres internationales d'arts martiaux historique européen organisée par l'association de taille et d'estoc sur le campus universitaire de DIJON.

    Tous les visiteurs sont les bienvenus, l'entrée est gratuite... n'hésitez pas à venir nous voir et posez vos questions.


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  • Je vous souhaite a tous une bonne année 2012


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  • Il était une fois dans un pays lointain, si éloigné de toute chose que son nom se perd dans les brumes de l’esprit, une chaumière où vivait un jeune bucheron. Cet homme était d’une affligeante beauté mais il avait un gros défaut, il admirait sa propre beauté.

     Il y avait sur le sentier le menant à sa zone de coupe habituelle une perpétuelle mare où vivait une petite fée.

    Cette petite créature était peureuse de tout aussi préférait-elle rester cacher au fond de cette petite étendu d’eau, bien à l’abri du monde extérieure. La demoiselle était bien contrariée de voir cet homme jour apres jour se mirer dans sa demeure. Un jour elle se décida enfin à lui parler pour lui faire part de son mécontentement mais elle ne se montra guerre.

     

    • Que fais-tu chaque jour à venir ainsi m’embêter ?
    • Qui me parle ? Ta voix est bien imparfaite !
    • Imparfaite ?! Tu ose… je suis une fée
    • Qu’est-ce qu’une fée ?

     

    La petite créature en eut assez de toute cette impolitesse. Elle se décida à sortir de l’ombre de sa cachette.

    Le jeune homme fut éblouit par tant de magie et de beauté dans une chose si petite.

     

    • Tu es bien mignonne jeune fée
    • Tu n’es pas mal non plus mais a force de te regarder comme çà, ne risques-tu pas de t’écœuré toi-même.
    • Est-ce possible ?
    • Je ne sais pas. Mais que dirais-tu de venir de l’autre coté du miroir pour voir ce qu’il en est ?
    • De l’autre coté ? Mais comment faire, je suis bien trop grand.
    • Tu es d’accord alors laisse moi faire.

     

    La petite créature marmonna une curieuse phrase et le jeune homme se transforma en une fée aussi petite qu’elle.

    Il fut aspiré dans la mare et découvrit un monde particulier. C’était un univers parfait. Une foret aux arbres immenses, aux cascades cristallines.

    Durant des heures, les deux petits êtres parcourraient toutes les vallées, toutes les grottes des plus obscures aux plus élevées… à la fin de la journée, la belle petite fée demanda au bucheron si il désirait devenir comme elle de manière définitive. Le bucheron se regarda a nouveau dans l’eau d’une rivière et il se trouva encore plus beau. Il accepta la proposition de la fée.

     

    Plus il l’a regardait et plus il trouvait qu’elle lui ressemblait. La fée fut heureuse de trouver un compagnon et le bucheron de trouver un monde à sa mesure. 


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