• Mél leur

    Epée en plein cœur, étrange douleur

    Mon âme s’éteint, le corps percé d’Airain

    Le sang dans mes veines, se glace sans peine.

    Et le mortel déclin, me tend la main.

     

    Sur le sol de mes meurtrissures, je vois les blessures

    Nul sauveur, nul protecteur juste des tricheurs.

    Hommes, bourreaux de mon existence, je cris vengeance

    Ma fatale souffrance n’a d’égale que mon errance.

     

    Je verse de silencieuses larmes, abandonnant mes armes

    Ma force est illusoire, je n’ai aucun pouvoir.

    De la solitude de mon tombeau, je crois au renouveau

    Et avec ce dernier soupir, je laisse tout finir.


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :