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Par drakiane1 le 24 Novembre 2010 à 02:52
Chemins étrange et barbare
Passage venu de nulle part
Entre deux rêves d’une nuit
Révèle le mystère de ma vie
Solitude, triste et malheur
Choix du destin sans cœur
Voila la voie offerte en cadeau
Pleine de souffrance et de maux
Douleur propres aux âmes
Choisissant l’art des lames
La route vers le paradis
Leur est à jamais, interdit.
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Par drakiane1 le 11 Octobre 2008 à 19:12J’ai rêvé de ses bras plus d’un millier d’années avant de renaître à la vie.J’ai senti la force de ses bras avant de les espérer contre mon corpsJ’ai goûté à ses baisers sans jamais en voir les tendre voluptés.J’ai fais ce songe à la lumière de la voie lactée,chaque nuit guidée par l’argent de la lune en suant feu et eau.De souhait en pensée, je me suis évadée là où il était, assis sur le rocher au bord de la cascade.Regard de braise et allure de mystère pour fantasme de chair.Et là seul avec lui, je m’endors bercée par la douce mélodie de son souffle de vie.
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Par drakiane1 le 25 Janvier 2010 à 05:15
Soleil d’été, porteur de tant de promesse,
Eclaire les chemins et nous délaisse
Et d’un éclair, renonçant au futur,
Laisse sur nos peaux sa brulure
Lune d’hiver, sœur de nos solitudes,
Montre la direction des plénitudes,
Pour ceux dont le chant mélancolique,
Calme la peine de cet astre magique.
Etoile du printemps, messagère divine
Annonce une fois encore, comme on le devine,
La naissance des mondes invisibles
Aux yeux des Creatures nuisibles.
Météore d’automne, funeste instrument,
Arrive sur terre pour détruire instamment
Les peuples et les paysages les plus beaux,
Rien ne dure dans cet univers en lambeau.
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Par drakiane1 le 9 Juin 2009 à 11:39
Des jeux de mon enfance, je retrouve l’insouciance
Chef de chantier improvisé, tailleur de pierre en papier
Je construisais des châteaux de carte, des tours maladroites
Qui à la longue, finissaient toujours par s’effondrer .
Et mes nuits ont cette teinte profonde et mystique
Qu’on parfois tous les vents venus d’Afrique,
Plein de songes étranges, pâles et écarlates
Où je voie prendre chair mes êtres imaginaires.
Mes journées sont pleines de cette solitude,
Si caractéristique du monde des adultes,
Sous la coupe de mes obligations sans rebellions
Je laisse mon âme voyagée dans les plaines insondables
Ou parfois l’esprit se perd et se dégrade.
Et sous la lune d’argent, je voie les mondes véritables
Qui sont pour mon âme, le plus doux des onguents.
Ma peau garde trace des coups et des menaces
Par les hommes trop souvent accordés.
Prise au piège entre deux univers raisonnés
Je vis au sein des contes de fées.
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Par drakiane1 le 28 Mai 2008 à 17:14Paralyser sur ce lit par ce sort que l’on maudit.C’est ce qu’on appelle la vie, la joie et la haine réunit.Un destin qui nous fait vomir, qui nous conduira à l’oubli.Nier, vivre dans un univers renfermer que nul autre créatures ne peut ouvrirNul autre n’aura la clé.Nul n’a su découvrir ce qui nous fait trembler. Une envie de liberté qu’on ne fait que rêver.Une échappatoire, un pont pour le monde de la douceur où jamais le mal n’a triompher.Une armée à nos cotés pour ne pas sombrer dans ces ténèbres déchaînées.C’est comme cela que nous voyons les faiblesses de la chair engendrant quelque fois, la déchéance dans nos âmes.
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