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    Chemins étrange et barbare

    Passage venu de nulle part

    Entre deux rêves d’une nuit

    Révèle le mystère de ma vie

     

    Solitude, triste et malheur

    Choix du destin sans cœur

    Voila la voie offerte en cadeau

    Pleine de souffrance et de maux

     

    Douleur propres aux âmes

    Choisissant l’art des lames

    La route vers le paradis

    Leur est à jamais, interdit.


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    J’ai rêvé de ses bras plus d’un millier d’années avant de renaître à la vie.
    J’ai senti la force de ses bras avant de les espérer contre mon corps
    J’ai goûté à ses baisers sans jamais en voir les tendre voluptés.
    J’ai fais ce songe à la lumière de la voie lactée,
    chaque nuit guidée par l’argent de la lune en suant feu et eau.
    De souhait en pensée, je me suis évadée là où il était, assis sur le rocher au bord de la cascade.
    Regard de braise et allure de mystère pour fantasme de chair.
    Et là seul avec lui, je m’endors bercée par la douce mélodie de son souffle de vie.

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  • Soleil d’été, porteur de tant de promesse,

    Eclaire les chemins et nous délaisse

    Et d’un éclair, renonçant au futur,

    Laisse sur nos peaux sa brulure

     

    Lune d’hiver, sœur de nos solitudes,

    Montre la direction des plénitudes,

    Pour ceux dont le chant mélancolique,

    Calme la peine de cet astre magique.

     

    Etoile du printemps, messagère divine

    Annonce une fois encore, comme on le devine,

    La naissance des mondes invisibles

    Aux yeux des Creatures nuisibles.

     

    Météore d’automne, funeste instrument,

    Arrive sur terre pour détruire instamment

    Les peuples et les paysages les plus beaux,

    Rien ne dure dans cet univers en lambeau.


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  • Des jeux de mon enfance, je retrouve l’insouciance

    Chef de chantier improvisé, tailleur de pierre en papier

    Je construisais des châteaux de carte, des tours maladroites

    Qui à la longue, finissaient toujours par s’effondrer .

    Et mes nuits ont cette teinte profonde et mystique

    Qu’on parfois tous les vents venus d’Afrique,

    Plein de songes étranges, pâles et écarlates

    Où je voie prendre chair mes êtres imaginaires.

    Mes journées sont pleines de cette solitude,

    Si caractéristique du monde des adultes,

    Sous la coupe de mes obligations sans rebellions

    Je laisse mon âme voyagée dans les plaines insondables

    Ou parfois l’esprit se perd et se dégrade.

    Et sous la lune d’argent, je voie les mondes véritables

    Qui sont pour mon âme, le plus doux des onguents.

    Ma peau garde trace des coups et des menaces

    Par les hommes trop souvent accordés.

    Prise au piège entre deux univers raisonnés

    Je vis au sein des contes de fées.

     


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    Paralyser sur ce lit par ce sort que l’on maudit.
    C’est ce qu’on appelle la vie, la joie et la haine réunit.
    Un destin qui nous fait vomir, qui nous conduira à l’oubli.
    Nier, vivre dans un univers renfermer que nul autre créatures ne peut ouvrir
    Nul autre n’aura la clé.
    Nul n’a su découvrir ce qui nous fait trembler. Une envie de liberté qu’on ne fait que rêver.
    Une échappatoire, un pont pour le monde de la douceur où jamais le mal n’a triompher.
    Une armée à nos cotés pour ne pas sombrer dans ces ténèbres déchaînées.
    C’est comme cela que nous voyons les faiblesses de la chair engendrant quelque fois, la déchéance dans nos âmes.

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