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Le corps meurtri et le cœur assombritLa femme laisse monter ses larmes,Petites perle d’eaux salées,Que jamais un homme n’a mérité !Elle a cesser de prierNe croyant plus les puissances divinesQui de ses entrailles ont volé le fruit,Allongée sur le lit de son enfantVide depuis trop longtemps.Il rêvait de voyage sur l’onde bleuMais a oublié les tempêtes de ses cauchemarsSa mère ne trouve plus le sommeilRevoyant son fils reposant sur les fonds marins.Elle l’a maudit tant de fois déjà,Cette mer cruelle qui lui avait prit son mariDésormais, la voici seule parmi de vieux souvenirL’océan ne peu plus rien lui enlever.Elle a le mal de terre et,en cette journée d’un éclatant soleil,c’est sa vie qu’elle lui offre !Que souhaiter, si ce n’estQue les vagues naissantes mène son corps,Dans ce mystérieux cimetière engloutissant tant de marin.Là où vive aujourd’hui tous ceux qu‘elle a aiméEt qui s’en sont allés.
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les choses sont bien étranges!
on se croit integrée dans un groupe ou un cercle et on a la desagréable révélation de chemin divergeant.
je sais que l'on ne peut rien face à se phenomene qui se nomme la vie. chacun fait des chois... et on s'eloigne, on oublie comme si rien n'avait exister comme ci rien ne s'etait passé.
le coeur se brise puis se reconstruit.. et les ennuis sont perseonnel lorsque la distance est aussi grande que celle des sentiments
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Je sais que cette passion n'est pas tres originale mais voyez vous sans cette profonde croyance ... eh bien je ne serai rien !
Je suis veritablement fascinée par ces creatures qui hantent les hommes depuis bien des siecles.
un peu folle?
Oui peut etre, mais c'est aisni et je n'y paut rien alors on fait avec!
Cette rubrique contiendra mes experiences, mes images et mes textes..
tous ce que je crois devoir a ses bêtes divines
Cette relation quasi intime avec les dragons me poussent au dela de toutes les limites conventionnelle.
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Gloire d’une marche sanguinaire
Fera de tes ailes, son étendard
Avant de se réjouir de l’acier de tes chairs
Honorera, par le sang versé, les dieux Lares
Dans un foyer de flammes,
Sera jetée ta noble carcasse
Le roi gardera ton cœur, le Ciel ton âme
Ils chanteront d’avoir écarté la «menace »
Grand sage au ciel
Une seule erreur te fut fatale :
Accorder ta confiance aux hommes mortels
Dont la nature profonde est de faire le Mal
Phœnix de feu et d’écailles
Pourras-tu un jour nous pardonner
De ne pas t’avoir mis en garde contre ces canailles,
L’humanité toujours du ciel jette ses divinités.
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Vengeance
Etre une fleur blanche sur le lit de ton tombeau,
Pour plonger mes racines dans ton beau cercueil,
Et toute l’éternité devenir ton fardeau,
Car toujours, mon corps te servira de linceul
Tu m’as laissé la saveur amère du Chagrin
Une coupe portée à tes lèvres ôtera ce goût.
Une belle pâleur mortelle sur ta peau de satin,
La mort t’emportera en ce puissant jour d’août.
Loin de toi, mon cœur bat, heureux et sans dommage.
Comme l’est Diane en ses bois, je suis trop sauvage
Pour être enchaînée à ce cœur plein de Haine.
Me voici, enfin, libérée de tes chaînes.
Sœurs qui êtes trois, me voilà comblé de joie.
Le fil de la vie fut coupé, selon votre loi
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