• C’est une histoire née au cœur de la nuit des temps,

    Que celle d’une ville de pierre où l’or est la terre,

    Qui terrifie les hommes depuis trop longtemps !

    Là, les gens qui s’aiment ne se meurtrissent pas les chairs !

     

    Les liens qui les lient ne sont pas aussi fragiles.

    Petit pays au milieu des terres comme une île,

    Ta vie est légendaire pour les chercheurs mortels

    Qui convoitent tes secrets, tes mines éternelles.

     

    Tes richesses sont parmi celles qui enivrent.

    Ton emplacement n’est cité dans aucun livre,

    Les bibliothèques peuvent toujours tout raconter

     

    Oh ! belle ville mystère, accorde-moi tes bienfaits

    Qu’entre tes murs, je sois à jamais triomphant.

    Citée de pierre, prend soin de mon âme égarée.


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  • Dieux opprimés vivant dans de lointaine contrée

    Sous le joug incessant de l’humanité.

    Caméléons à la robe d’ombre et d’acier,

    Sur des sentiers paillés, vous défiez la destinée !

    Bourreaux, désir et terreur de vies insoupçonnées,

    Aux abords des villages, sais se faire respecter.

    Mais contre leur arme de métal et de flamme

    Vous risquez fort de perdre le cristal de vos âmes.

    Oh ! Génie oublier ne vous laissez pas attraper

    Vis comme toujours avec un peu de liberté.

    Rois étranges, ce regard envoûtant

    Est pour nous, le plus beau des diamants.


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  • C'est une sensation tres étrange proche de celle d'un reve qui s"evapore aux premieres lueurs de l'aube nouvelle, une impression quasi surnaturelle ... le sentiment d'appartenance.

    Appartenance à qui, à quoi?

    A une famille, à un ensemble de gens, à un groupe d'amis... qui marchent comme un seul homme vers un but, vers un ennemis pour affronter les aléas de la vie, partager les joies et les peines, apporter ses experiences, son vecu, ses idées, ses fantasies aussi... et qui fait face, malgré tout, malgré eux, malgré la nature des hommes...

    Avec le regard que je porte sur mon passé, mon histoire... c'est un fait nouveau, ennivrant même, qui donne des ailes  et fait croire en un idéal qui n'est qu'illusoir.  Cette impression qu'ensemble on peut tout faire, tout vaincre, tout accepter, tout accomplir... je ne la connaissais pas réellement jusqu'a recemment. Un décallage permanent avec ces autres, ces êtres fait de chair et de sang aussi semblable que different, ... la certitude derangeante de n'etre pas née dans le bon temps, la bonne époque... tout en prenant conscience, qu'un siecle plutôt, nous serions deja au tombeau...

    Alors, on n'ose croire, on n'ose s'ouvrir et accorder cette precieuse chose que l'on nomme confiance. Pourtant, chaque nouvelle rencontre rempli le coeur d'une chaleur presque eteinte, oublié dans les abysses de notre être... une joie qui est une lumiere ravivée.... et la curiosité de comprendre, d'apprendre .... à vivre avec les autres, dans ce monde qui nous porte et nous supporte.

    Ainsi, un groupe qui par le simple fait d'être ce qu'il est, de sourire, de faire preuve de chaleur humaine, et qui accepte vos travers... un groupe qui panse votre âme comme jamais encore.... un groupe comme un clan composé d'être precieux, d'être cher, d'être fort et d'autre faible... qui malgré ses coups de gueule, ses moments de tremblements, ses peines.... parvient toujours à éclaircir la noirceur de votre vie.

    Lorsqu'une telle puissance protectrice arrive en votre existence, on n'a qu'une envie, qu'un souhait aussi inutil et idiot qu'il puisse paraitre... on veut lui rendre la pareille, ne serait-ce qu'un peu! Avec cette sensation de ne pas en faire suffisament, de  ne pas atteindre ses limites ni la frontiere de ses possibilités.

    Mes amis font partis de ma famille... on ne touche pas ma famille.... on ne s'en releve pas... le groupe, le clan, la famille est un soutient pour celui ou celle qui en as le besoin... quand on s'en prend à l'un, on s'en prend à tous les autres sans distinction aucune...

    Une utopie?... Peut-être... suis-je idéaliste... c'est certain !

    ET si c'est un reve... alors je ne veux pas me reveillée... pour la premiere fois depuis tres longtemps, j'ai trouvé un équilibre et des gens pour lesquels , je veux me battre... pour lesquels, je veux deplacer des montagnes... et les prendre dans mes bras, pour effacer de leur sublime visage... la douleur, la tristesse, l'angoisse...

    ET qu'il n'y ait pas un être sur cette terre qui doute de la férocité de mes attaques,... sous mes traits d'ange imparfait, je reste sauvage... j'irai jusqu'à l'impossible, pour defendre et protéger ceux qui me sont si chers....


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  • Les ténèbres,

    Mot esquit du Noir Béant

    C’est funèbre,

    Annonce dieu en pleurant

     

    Chante corneille

    Arrachant de l’enfer les gisants

    Taille le ciel,

    Le vol noir d’un ange affolant

     

    Pleure princesse

    Le prince n’est jamais charmant

    Ah tristesse,

    Le printemps s’efface inlassablement.


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  • Soleil d’été, porteur de tant de promesse,

    Eclaire les chemins et nous délaisse

    Et d’un éclair, renonçant au futur,

    Laisse sur nos peaux sa brulure

     

    Lune d’hiver, sœur de nos solitudes,

    Montre la direction des plénitudes,

    Pour ceux dont le chant mélancolique,

    Calme la peine de cet astre magique.

     

    Etoile du printemps, messagère divine

    Annonce une fois encore, comme on le devine,

    La naissance des mondes invisibles

    Aux yeux des Creatures nuisibles.

     

    Météore d’automne, funeste instrument,

    Arrive sur terre pour détruire instamment

    Les peuples et les paysages les plus beaux,

    Rien ne dure dans cet univers en lambeau.


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