• A la lune montante, je veux confier mon souffle dernier<o:p></o:p>

    Les raisons qui me hantent, les mots ultimes d’un condamné<o:p></o:p>

    Mon corps hélas se meure, mes yeux se mettent à brillés<o:p></o:p>

    Les seules heures où tous ne sera que vérité<o:p></o:p>

    J’ai parcouru beaucoup de chemin, sans jamais savoir où allé<o:p></o:p>

    Oubliant les trésors de demain, les promesses de longues journées<o:p></o:p>

    J’ai vécu avec solitude, compagne de toute cruauté<o:p></o:p>

    Ebranlant ma certitude, les espoirs insensés<o:p></o:p>

    J’offre les visages de ma mémoire, mes rêves de grandeur assassinés<o:p></o:p>

    Les joies du voyage sans la fatigue de les avoir menées<o:p></o:p>

    Mon âme a peur de se voir en enfer précipitée<o:p></o:p>

    Pour toutes ces erreurs, les douleurs du passées<o:p></o:p>

    Je m’en remets à toi, ma fidele alliée<o:p></o:p>

    Déposant mes regrets et les larmes de mes chairs à tes pieds.<o:p></o:p>


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  • Espoir des matins pâles<o:p></o:p>

    Transformera tes froides journées<o:p></o:p>

    A la manière d’une pierre philosophale<o:p></o:p>

    En un paradis sauvage, de diamants ornés.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La noirceur de cette espérance abandonnée<o:p></o:p>

    De douceur et de lumière dérisoire<o:p></o:p>

    Comme le son résonnant du glas au clocher<o:p></o:p>

    Aura la couleur des premiers soirs<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C’est une main tendue de la vie<o:p></o:p>

    Sur les levres, donnera un sourire<o:p></o:p>

    Le bonheur, la fierté et l’envie<o:p></o:p>

    A nouveau réunis au son de ton rire.<o:p></o:p>


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  • Traître ! Je ne te savais !

    Le coup que tu m’as porté fut si violent qu’à jamais mes chairs s’en souviendront. Saches que si j’avais des griffes, je te lacèrerais la peau jusqu’à ce que tu en crêves ! et quant bien même, tu me supplierais, je continuerais à te tourmenter.

    Peut-être comprendras-tu alors les souffrances que les mots peuvent infliger ! N’aies craintes, je ne te tuerais point ; pas encore ! C’est parce que je t’aime trop que je te gratifie de ce délai.

    Et lorsque, tu t’en iras sur l’autre rive, je prendrais soin de ton corps mort jusque dans cette sépulture où tu reposeras, victime de la colère d’un être qui t’as trop estimé.


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  • je vous souhaite à tous de bonnes fêtes de fin d'année.

    et tous le bonheur possible...


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  •  

    J'enrage !

    Pas de repose pour les braves .

    Je te hais !

    De me sourire ainsi comme si je n'avais pas compris

    Je te hais comme la haine me le permet

    Et je te tuerai !

    Ton cœur ensanglanté dans mes mains toutes dorées

    Je suis en colère !

    Et s'est toi ordure qui la provoque .

    Tu ne le sais pas !

    Je suis là et je te regarde,

    Des yeux d'ombre

    Sur ta peau de sale con !

    Tu ne sais pas ce que je suis,

    Une tempête en sommeil,

    Dans un silence venu de l'Eden,

    Ta meurtrière !

    Les jour de lumière

    Celle qui te feras brûler sur son bûcher

    En te hurlant de ne pas crever

    Sans avoir connu les souffrances du damné

    Je te hais comme jamais

    Mon ennemi maudit je te déteste tant

    Ne pas te voir à terre

    Voilà mon erreur

    Je te déchiquetterai encore sans relâche

    Mes ongles sous ta chair

    Et ressentir ce froid

    Qui mettra fin à ton audace

    On ne me menace pas aussi facilement

    Je t'aurai lâche,

    A la tombe et au tombeau,

    Sous la terre et dans tes os,

    Pour toi, resterai sans repos,

    Une ombre comme un marteau,

    Pour mon cœur en lambeau,

    La valeur de ton fardeau.

     

    Tu crois m'échapper,

    Je suis femme, pas poupée !

    Tendresse que je donne fut oubliée,

    Je suis folle d'avoir aimée,

    Un homme, une humanité.


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