• Sans titre (22)

     

    Comme un souvenir que le temps englouti
    Le vide se fait ressentir d’un mortel ennui
    Tourmenté d’autres choses, ils sont des milliers
    Des milliers à ne rien voir d’autre que leur pieds
    A sourire du bruit sourd d’un corps qui tombe
    De se réjouir d’une absence qui naît de la tombe
    Tel un troupeau de prédateur ignorant notre peur
    Ils vont et viennent au gré du temps suivant leur humeur
    Pas un ne doit faiblir devant tous les autres
    Ce signe est trop bas pour eux, ce mal est notre
    Une humanité dévoilée aux portes de la normalité
    Les battements d’un cœur de l’autre coté
    Et le bruit insensible d’une âme qui vous crie
    Une fois encore de l’aimer, elle si seule dans la nuit

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