• Tu payeras ta dette

    Traître ! Je ne te savais !

    Le coup que tu m’as porté fut si violent qu’à jamais mes chairs s’en souviendront. Saches que si j’avais des griffes, je te lacèrerais la peau jusqu’à ce que tu en crêves ! et quant bien même, tu me supplierais, je continuerais à te tourmenter.

    Peut-être comprendras-tu alors les souffrances que les mots peuvent infliger ! N’aies craintes, je ne te tuerais point ; pas encore ! C’est parce que je t’aime trop que je te gratifie de ce délai.

    Et lorsque, tu t’en iras sur l’autre rive, je prendrais soin de ton corps mort jusque dans cette sépulture où tu reposeras, victime de la colère d’un être qui t’as trop estimé.


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