Stèle de mousse recouverte
Un soir d’été fut découverte
Dévoilant ainsi toute sa sacralité
Et son occupant fut réveillé
Révélant aussi le désir de puissance
Que l’on souhaite autant que la chance !
Mais qui est ce bel inconnu
Qui n’a pas annoncé sa venue ?
Le vent lui, le connaît, c’est son maître !
Pour l’avoir vu dans la nuit naître
Ténébreux à mourir par amour
Ses secrets ne sont pas de velours
Dans le sang et sur la chair des sacrifiées
Toujours, il aime goûter les voluptés
Satan l’a ainsi fait renaître des flammes
Pour qu’il envoûte de son savoir les femmes !
Il s’y prend si bien qu’elles ne se font pas prier
Pour que d’un feu nouveau il les fasse brûler !
Et au soir de leur mort, elles le supplient encore
De savourer les délices de son maudit corps !